Le voyage de Trice : Le Bas-Poitou

 

Faymoreau

L’altitude de la ville est de 121 mètres.  

Jacques-Louis Panou, Seigneur de  Faymoreau Et Ses Fils. Famille noble de la Gâtine parthenaise, au XIIe siècle. Le fief de Faymoreau a été possédé depuis par les familles du Puy-du-Fou (XIVe et XVIIe siècles), Grignon (XVIIe siècle)Panou de Faymoreau (XVIIIe et XIXe.

Jacques-Louis Panou, Chevalier Seigneur de  Faymoreau
Conseiller du roy et maître ordinaire en sa chambre des comptes de Bretagne
Né à Faymoreau, le 30 avril 1751 – Chevalier de Saint-Louis, le 23 mai 1825.

Décédé en son château de Faymoreau, le 29 juin 1832, à l’âge de 81 ans.

 

Centre Minier de faymoreau.

Au sud du bocage vendéen, à quelques pas du Marais Poitevin, la cité minière de Faymoreau a vécu de l’exploitation du charbon, de 1827 à 1958. Aujourd’hui, l’histoire minière ne se laisse pas oublier.

 Les corons sont encore habités, les jardins ouvriers cultivés, les vitraux de Carmelo Zagari illuminent la Chapelle des Mineurs et le musée, situé dans l’ancien dortoir des verriers, témoigne de la grande aventure du charbon dans le bassin minier de Faymoreau.

Incroyable ! Pourtant, de 1827 à 1958, des hommes, leurs fils et leurs petits-fils sont descendus dans les entrailles de la terre au péril de leur vie, pour extraire « l’or noir » de l’époque.

Un jour de 1827, un modeste sabotier découvre, en creusant un puits, une veine de charbon. Commence alors une grande aventure qui durera 130 ans pour des hommes d’ici et d’ailleurs, unis par le courage et la solidarité.

Les chevalements façonnent le paysage bocager, des entreprises sont créées pour consommer le charbon, comme la verrerie et la centrale électrique. Le village ouvrier est bâti et organisé par la Société des Mines à quelques pas du bourg, avec la construction de corons pour les ouvriers et les contremaîtres, de bâtiments pour la direction, et aussi d’une chapelle, d’écoles…

Mais le 28 février 1958, tout s’arrête, la mine ferme définitivement.

 

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Le voyage de Trice : Le Bas-Poitou

La Grotte du Père Montfort

Louis-Marie Grignion de Montfort, né le 31 janvier 1673, mort le 28 avril 1716. Est un prêtre catholique français, fondateur de deux congrégations religieuses : la Compagnie de Marie (pères montfortains) d’où seront issus les Frères de Saint-Gabriel et une congrégation féminine : les Filles de la Sagesse. 

Il est aussi le représentant majeur de la seconde génération de l’école française de spiritualité. Béatifié en 1888 par Léon XIII, il est canonisé en 1947 par Pie XII. Issu d’une famille de dix-huit enfants, Louis-Marie Grignion est né en Bretagne, en 1673.

 Peu de temps auparavant ses parents avaient perdu leur premier enfant, mort à cinq mois. Louis était donc l’aîné de la très nombreuses familles composées en tout de huit garçons et de dix filles. 

Son père, avocat au bailliage de Montfort, exerce une profession qui ne lui procure pas suffisamment de revenus pour nourrir sa famille. Il s’installa donc à la campagne, où les produits des terres aideront toute la maisonnée à vivre.

 Louis naquit dans un foyer chrétien, et dès le lendemain de sa naissance, on le porta à l’église Saint-Jean, où le baptême le fit devenir fils de Dieu. Rapidement, on le met en nourrice chez une fermière des environs. 

Il gardera de la vie campagnarde l’amour de la nature et de la solitude où l’on trouve plus facilement le Seigneur que dans l’agitation des villes. C’est son père qui lui donna, semble-t-il, les premiers éléments d’instruction.

 Il est d’abord élève des jésuites, à Rennes, avant d’aller se préparer au sacerdoce, à Paris. Louis-Marie fait vœu de pauvreté en quittant Rennes pour Paris. Il est ordonné prêtre en 1700, et se consacre à la prédication dans des missions rurales qui s’organisent, alors, dans l’Ouest et le Centre de la France. 

Il prêche à Nantes et dans les communes alentour, notamment à Poitiers. Il réorganise l’hôpital de cette ville et en est nommé aumônier. Montfort a beaucoup aimé les pauvres, mais contrairement à ce que l’on croit, il ne s’occupe pas que des pauvres. 

Ses amitiés spirituelles avec le marquis de Magnanne et les époux de la Garaye en sont la preuve. Il fonde en 1703 une congrégation religieuse féminine, hospitalière à l’origine, les Filles de la Sagesse, qui étend très vite son activité à l’enseignement.

 Le 6 juin 1706, il est reçu en audience par le pape Clément XI espérant être envoyé en mission en outremer, mais le pape lui demande de rester en France avec le titre de missionnaire apostolique.

 À trois reprises, en 1715, il s’installe en ermite dans la petite grotte en forêt de Mervent. Il en sera chassé pour avoir abattu des arbres de la forêt royale sans autorisation.

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Le voyage de Trice : Le Bas Poitou

Barrage de Mervent

Le barrage de Mervent est un barrage pénétrateur mis en service en 1956.  Situé en Vendée sur le cours de la Vendée. Son bassin-versant a une superficie de 385 km2.

 

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Le voyage de Trice : Le Pays de l’Ourcq

Crouy sur Ourcq

Dès le XIIe siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy. Le château-fort est construit par Jean III de Sépois. Le Château du Houssoy est du 14e et 15e siècle. Il est partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les Espagnols en 1652.

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L’Ourcq

Elle prend sa source au-dessus de Fère-en-Tardenois dans le département de l’Aisne.  Cette petite rivière suit une large vallée. Son court est de 87 km

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Gare de Crouy-sur-Ourcq

Elle est mise en service en 1894 par la Compagnie des chemins de fer de l’Est. Établie à 59 mètres d’altitude

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Le voyage de Trice : l’Île-de-France

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Chemin de Fer des Chanteraines

Pour desservir les différentes parties du parc, une ligne de chemin de fer à voie de 0,60 m a été retenue et réalisée en 1981. Cela représente aujourd’hui un total d’environ 5,5 km dont 1 km de voies d’évitement et de garage. 

Le Parc des Chanteraines étant situé principalement dans une boucle de la Seine en forme de « banane », la ligne du chemin de fer suit ce même schéma.  Elle comporte deux voies dont une à quai. 

L’ancien bâtiment de la gare dite «des charbons» à l’époque ou les trains de charbon arrivaient le long de la Seine sur l’estacade pour décharger les péniches. À son extrémité une plaque tournante permet éventuellement de réorienter une locomotive et dessert également une courte voie en épi. Cette gare a été entièrement refaite.

Le parcours est assez champêtre, traité « à l’Anglaise » avec des petits plans d’eau où se développent une faune et une flore caractéristiques. De nombreuses trouées dans la végétation offrent de jolis points de vue sur la Seine et le Parc de l’Île Saint-Denis.

Merci à mon ami Jean-Pierre pour cette belle découverte

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Vidéos :

Parc des Chanteraines

  Parc des Chanteraines