Jean XXIII

Citation

Jean XXIII confirme l’enseignement  de ses prédécesseurs. 

<< Quand l’institution de la famille vacille, les fondements même de la société civile peuvent s’écrouler >>

<< Finalement, comme nous avons invité à la concorde les peuples, leurs dirigeants, les classes sociales, nous invitons aussi, avec  un zèle paternel toutes les familles à ce qu’elles recherchent et la consolident.

En effet, s’il n’y a pas de paix, d’unité et de concorde dans les familles, comment pourra-t-il y en avoir dans la société civile ?

Cette union ordonnée et harmonieuse qui doit toujours régner entre les murs du foyer naît du lien indissoluble et de la  sainteté du mariage, lequel coopère ainsi en grande partie avec l’ordre, le progrès et le bien-être de la société civile toute entière.

Le père, chef de famille, doit être le représentant. Il doit diriger et précéder les autres non seulement pour son autorité, mais aussi par l’exemple d’une vie intègre.

La mère par la douceur de son tempérament  et par ses vertus domestiques doit être bonne et affectueuse avec son mari.

Avec lui, elle guide les enfants, don précieux, et les éduque avec fermeté et suavité à une vie honnête. Les enfants obéiront à leurs parents comme c’est leur devoir, ils les aimeront et seront leur réconfort, et si besoin est, ils seront aussi leur aide.

Que l’on respire dans le foyer domestique la charité ardente qui régnait dans la Sainte Famille de Nazareth ; qu’y fleurissent toutes les vertus ; que règne l’union des cœurs  et que brillent les exemples d’une vie honnête.

Que jamais – nous le demandons ardemment – ne se brise cette concorde si belle, si douce et si nécessaire. Quand l’institution chrétienne de la famille vacille, quand les commandements sont rejetés ou méprisés, alors les fondements même de la société civile peuvent s’écrouler, elle est mise en sérieux danger et il en résulte des pertes incalculables pour les citoyens >>

Jean XXIII

Image illustrative de l'article Jean XXIII

Blason

Évêque de l’église catholique en 1925

Archevêque titulaire d’Aeropolis 1925 – 1934

Official puis délégué apostolique de Bulgarie

Archevêque titulaire de Mesembria  1934 – 1953

Cardinal de l’église catholique en 1953

Délégué apostolique en Grèce 1934 – 1944

Délégué apostolique en Turquie

Nonce apostolique en France 1944 – 1953

Patriarche de Venise 1953 – 1958

Pape de l’église catholique 1958 – 1963

Saint de l’église catholique en 2014

Accepter ou rejeter… ?

Citation

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Le problème de l’immigration n’est pas nouveau. Saint Thomas-d’Aquin s’en est déjà occupé au XIIIe siècle. Inspiré par les enseignements de l’Écriture sainte relatifs au peuple juif. Le Docteur Angélique établit clairement les limites de l’hospitalité due aux étrangers.

Avec les étrangers, le peuple peut en entretenir deux sortes de rapports : dans la paix et dans la guerre. Pour régler les uns et les autres, la loi comportait les préceptes qu’il fallait.

Saint-Thomas d’Aquin dit, donc que tous les immigrants ne sont pas égaux parce que les relations avec les étrangers ne le sont plus non plus : certains sont  pacifiques, d’autres belliqueux.

Chaque nation a le droit de décider quel type d’immigration peut être considérée pacifique et donc bénéfique pour le bien communs ; et quel type au contraire, est hostile et donc nuisible. Un état peu rejeté, comme une mesure de légitime défense, des éléments qu’il juge nuisible pour le bien communs de la nation.

De « l’immigration pacifique », Saint-Thomas d’Aquin dit :  

 Dans la paix, une triple occasion s’offrait aux Juifs d’entrer en contact avec les étrangers : tout d’abord quand les étrangers en voyage traversaient le pays  ; ou bien quand des étrangers venaient dans les pays  pour s’y installer en qualité d’immigré.

Dans ces deux cas, les prescriptions ont un caractère d’humanité.

Ici, Saint-Thomas d’Aquin reconnaît qu’il peut y avoir des étrangers qui d’une d’une façon paisible et bénéfique séjournant pendant une certaine période. C’est étranger doivent être traités avec respect, charité et courtoisie, devoir de toutes personnes de bonnes volontés.

Le troisième cas est celui d’étrangers désirant être reçu en pleine communauté de vie et de culte avec le peuple : à leur endroit, on observait certaines formalités, et leur admission à l’état de citoyens n’était pas immédiate.

De même, selon Aristote, c’était une règle chez certaines nations de réserver la qualité de citoyen à ceux dont l’aïeul, voir le trisaïeul, avait résidé dans la cité.

Et cela se comprend, à cause de multiples inconvénients occasionnés par la participation prématurée des étrangers au maniement des affaires publiques, si, avant d’être affermis dans l’amour du peuple, ils entreprenaient quelque chose contre lui.

L’enseignement de Saint-Thomas, fondé sur le bon sens, aujourd’hui sonne politiquement incorrect. Pourtant, il est parfaitement logique. Il montre que vivre dans un pays est une chose très complexe.

Il faut du temps pour connaître les habitudes et les mentalités du pays, et par conséquent comprendre ses problèmes. Seuls ceux qui y vivent longtemps, faisaient partie de la culture du pays, en contact étroit avec son histoire, sont en mesure de mieux juger les décisions à long terme qui soient convenables pour le bien commun.

Il est nuisible et injuste de mettre l’avenir du pays entre les mains de gens qui viennent d’y arriver, et cela peut avoir des conséquences désastreuses. Voici donc quelques principes sur l’immigration énoncés par Saint Thomas-d’Aquin il y a sept siècles.

De ces enseignements, on peut clairement déduire que toute analyse sur l »immigration doit être guidée par deux idées-clés: l’intégrité de la nation et son bien commun.

Cela explique pourquoi tant d’Européens éprouvent un sentiment de malaise et d’appréhension en face de l’immigration massive et disproportionnée de ces dernières années.

Un tel flux d’étrangers originaires de cultures très éloignées, et même hostiles introduit des situations qui détruisent les éléments d’unité psychologique et culturelle de la nation. Dans ce cas, on est clairement devant un attentat contre le bien commun.

L’aspect économique est très important. En proie à sa plus grave crise économique depuis des décennies, l’Europe ne peu se permettre de prendre en charge des millions d’immigrants sans endommager le bien commun de ses citoyens.

L’Europe ferait bien de suivre les sages enseignements du Docteur Angélique. Certes, un pays doit employer la justice et la charité dans le traitement des immigrants. Mais il faut surtout maintenir l’harmonie et le bien commun sans lesquels un pays ne peut pas durer longtemps.

Ceci sans mentionner la foi chrétienne, la plus profonde pierre fondatrice de notre civilisation. 

L’avis du Cardinal Burke

Image illustrative de l'article Raymond Burke

Cardinal Burke

Évêque de La Crosse (1994-2003)

Évêque de l’Eglise catholique (1995)

Archevêque de Saint-Louis – Etats-Unis (2003-2010)

Préfet du Tribunal suprême de la signature apostolique (2010-2014)

Cardinal de l’Eglise catholique (2010)

Patron de l’Ordre souverain militaire de Malte (depuis 2014)

Il est important que les chrétiens tiennent compte des différences radicales entre l’islam et le christianisme.

Il faut bien comprendre que l’islam est une religion qui, selon sa propre interprétation, doit également devenir l’état.

Est destiné à gouverner le monde. En réalité, il n’y a nulle place pour d’autres religions ; et si on comprend vraiment l’islam, on comprend que l’église doit vraiment en avoir peur

L’avis de Mgr Hoser

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Président des Œuvres Pontificales Missionnaires

Évêque de Warszawa-Praga Pologne

Je crois que l’Europe connaît actuellement une période analogue à celle du haut Moyen Age, lorsque les peuples nomades ont afflué, arrivés ici en provenance d’Asie. Et que va-t-il se passer, maintenant ?

Probablement, l’Europe sera musulmane cela ne fait aucun doute : si les tendances ne changent pas, si le taux de natalité européen demeure si faible qu’il n’y a pas de remplacement des générations, alors ce sera une Europe musulmane ou les chrétiens joueront le même rôle qu’ils jouent actuellement au proche orient dans une mer de musulmans, il y a toujours eu des petites communautés chrétiennes qui ont survécu, bien qu’aujourd’hui, elles ne soient même plus en état de survivre.

L’avis de Mgr Kiss-Rigo

Ce ne sont pas des réfugiés. C’est une invasion. Ils viennent ici en criant « Allah Akbar ». Ils veulent nous envahir. La plupart d’entre eux se comportent de manière très arrogante et cynique.

Ils représentent en réalité une grave menace pour les valeurs chrétiennes et universelles du continent. Le pape, en revanche, ne connaît pas la situation.

Pendant que vous vivez dans l’insouciance malgré les menaces qui pèse sur la France, vous devenez déjà esclaves de la religion musulmane quand vous cédez à leurs revendications : des piscines, ou les hommes sont interdits, quand ils refusent que leurs femmes se fassent examiner par des hommes, quand vous leur donner des menus spéciaux, quand vous supprimez vos fêtes (du boudin, et du cochon)  et vous céderez à leur revendication sur le Burkini,  vous êtes déjà sous leurs jougs, bientôt la Seine rougira du sang des Parisiens égorgés comme des porcs, mais je vous en supplie continué à jouer à votre Pokémon Con, votre récompense sera celle-ci, car vous avez peu d’amour pour la France, pour vos traditions, pour vos valeurs, ce que je vous concède comme courage, c’est que vous chiez dans votre froc !

ESCLAVE

Merci au peuple corse qui ne se laissera jamais asservir.