Le Pape prépare sa succession, pour Dieu, ou pour Satan…

Citation

 

 

 

Le saint-père a créé de nouveaux cardinaux. Ils ont un point commun : ils pensent comme lui. Le message est clair : l’Église que dessine le pape est engagée auprès des plus pauvres – surtout s’ils ne sont ni catholiques ni Européens -, elle est amie de l’islam et elle milite pour l’écologie dans sa version Greta.

Le pape a donc pioché dans ses thuriféraires les plus fervents pour les habiller de rouge.

Mgr Michael Louis Fitzgerald (qui ne sera pas électeur, car il a déjà 82 ans) avait été envoyé comme nonce en Égypte par Benoît XVI qui goûtait peut son attrait pour Mahomet. 

 

Le faire Cardinal est un geste symboliquement fort de la part du pape Bergoglio.

Le père Michael Czerny, 73 ans, est un jésuite canadien, actuel sous-secrétaire de la section migrants et réfugiés du dicastère pour le Service du développement humain, mais aussi secrétaire spécial du synode sur l’Amazonie en préparation, dont il se murmure qu’il sera l’occasion pour le Pape d’avancer de nouvelles réformes contraires au magistère de la sainte Église catholique, apostolique et romaine. 

 

Le père Czerny est aussi l’une des plumes de l’encyclique Laudato si sur l’écologie. Il n’est même pas évêque…

Mgr Matteo Zuppi, 63 ans, archevêque de Bologne, est l’un des membres éminents de la communauté Sant’Egidio, cette communauté qui a les faveurs du Pape.

Un autre adepte du dialogue avec l’islam a été aussi reçu dans le collège cardinalice : Mgr Miguel Angel Ayuso Guixot, 67 ans, président du Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux, mais aussi plume de la très New-age «déclaration pour la Fraternité humaine», que François a signée avec l’université islamique de al-Azhar du Caire, à Abu Dhabi au printemps dernier.

Enfin, on notera parmi les élus Mgr Ignatius Suharyo Hardjoatmodjo, 69 ans, archevêque de Jakarta (Indonésie), grand partisan du pouvoir donné aux conférences épiscopales dans l’Église contre le pouvoir de Rome.

Bref, une série de catastrophes. Une entreprise précise et efficace de destruction de l’Église.

Le voyage de Trice : L’Île-de-France

Le Val

Orlyval est un système de transport automatique de navettes sur des pneus de type VAL à petit gabarit. Ouvert en 1991 et entièrement financé sur fonds privés, Orlyval constitue un échec commercial. 

Après la liquidation judiciaire de la société en 1993, la ligne est gérée par RATP et connaît depuis une croissance progressive. La société Orlyval est créée par Matra, Air Inter, Lyonnaise des Eaux-Dumez, la RATP, Indosuez, le Crédit Lyonnais, la Caisse des Dépôts, le Crédit Local, Barclay’s Bank, et quelques autres institutions, et dotée d’un capital de 150 millions de francs. 

Ce capital est détenu à 34,7 % par le groupe de banques, 26,7 % par Air Inter, 18 % par Lyonnaise des Eaux-Dumez, 17,3 % par le fabricant du VAL Matra et 3,3 % par la RATP.

Orlyval est constitué d’une ligne majoritairement à double voie équipée de pistes pour roulement sur des pneumatiques, pour un matériel intégralement automatique et sans conducteur.

La ligne de 7,3 km est équipée de huit rames. 

 

Copyright © Little Trice

Des hublots de forme rectangulaire sont entourés d'instruments

Intérieur d'un avion. Des rangées de trois sièges se trouvent autour d'un couloir central.

Copyright © Little Trice

Trice est de retour !

En passant

Bonjour tout le monde !

C’est une joie de vous retrouver après un an d’absence, j’espère que vous vous portez bien. À toutes celles, et tous ceux qui recevaient ma newsletter, cela fait 50 personnes, j’aimerais que vous me disiez, si vous le recevez de nouveau, et dites-moi comment vous allez.

Merci !

Dans ces temps moroses, commençons à fêter le renouveau qui s’annonce, avec cette image de feu d’artifice. Que votre vie soit remplie de joie et de bonheur.

Votre ami Trice

© Little Trice

Et paf ! Ramasse ça !

Citation

Il l’a eu sa baf, se petit con ! Moi, gaulois réfractaire, pestiféré, souverainiste, nationaliste, normand pure souche, je t’ai fait comprendre ainsi que tous « les miens » qu tu dois te barrer le plus rapidement possible ! 

Gouverner une nation, et un peuple se fait avec le Coeur, lui a choisi d’éborgner ceux qui ne pense pas comme lui, et bien la réponse du peuple français à été à la hauteur, c’est une grande joie ! 

Et comme une bonne nouvelle suit l’autre, c’est que des terroristes jugés en Irak vont être mis à mort ! Au moins ils ne pourront plus venir dans mon pays tuer des innocents. 

Espérons qu’ils n’y aura pas des connards qui demanderons la « grâce présidentielle », et les faire revenir ici… On ne sait jamais…

Les obsèques de Macron se sont déroulées sans fleurs ni couronne…

Vous étiez, Monsieur le Président, le saint Georges qui allait terrasser le dragon. Un dragon incarné par une cruelle diablesse blonde. 

C’était elle ou moi, proclamiez-vous. Tous les jours que le bon Dieu fait, vous alertiez la France sur le danger mortel que lui ferait courir une victoire du dragon.

À ce combat périlleux, vous vous étiez préparé depuis longtemps. Pendant des mois, on vous a vu à la télévision, vous montrant, parlant, pérorant, faisant don de votre personne à la France.

Un entraînement nécessaire avant le duel mortel avec le Belzébuth femelle. Au début, Monsieur le Président, vous aviez un peu sous-estimé votre adversaire.

C’est pourquoi vous avez d’abord envoyé au casse-pipe un brave petit fantassin du nom de Nathalie Loiseau.

Erreur, funeste erreur : il aurait fallu un soldat d’élite ! La diablesse, elle, avait choisi, pour porter ses couleurs, un petit jeune de vingt-trois ans. Il fut à la hauteur.

Et votre candidate, Monsieur le Président, parut soudain très vieille… La défaite se profilait. C’est alors que, n’écoutant que votre courage, vous vous êtes rendu à Domrémy.

Là, vous entendîtes des voix qui vous disaient : « Emmanuel, va sauver le royaume de France qui est en grand péril ! »

Dès lors, vous n’hésitâtes pas à revêtir une armure et à payer de votre personne. Et même, poussant l’esprit de sacrifice jusqu’à des frontières inconnues, vous avez accepté de vous confier à un « youtubeur ».

Le dragon, c’est sûr, allait être terrassé. Mais la sorcière blonde avait jeté sur vous un maléfique sortilège.

Plus on vous voyait, plus vous bombiez le torse, plus la liste du petit jeune progressait. À croire que vous jouiez contre votre propre camp…

Aujourd’hui, jour de deuil, le glas a sonné dans toutes nos églises : le dragon a triomphé. Il se pavane sans vergogne dans nos rues, dévorant au passage quelques petits enfants.

Vous avez eu, Monsieur le Président, la plus belle mort qui soit : la mort d’un guerrier. Honneur ou courage malheureux !

 Vos pages, vos seigneurs, vos serviteurs affirment pourtant que vous allez ressusciter. Mais Pâques, c’est déjà passé !

B.V

Dimanche je vote !

Lettre aux « moutons »

Ça y est, les élections européennes sont là. Et on ne peut pas dire qu’elles provoquent l’enthousiasme. C’est bien simple, la participation n’a cessé de baisser à chaque nouvelle législature. 

Si la tendance se confirme, ce week-end, nous devrions passer au-dessous des 40 %. Un désaveu violent. Votre vote compte moins que leurs lobbies.

Ce désaveu vient tout d’abord d’une perception de perte de souveraineté démocratique. Les Français savent que leur vote a peu d’influence par rapport : 

Aux innombrables lobbyistes (Bruxelles est le deuxième centre du lobbyisme après Washington !) À l’opaque machine bureaucratique européenne 

Aux politiciens qui contournent le vote populaire et ne respectent pas leurs engagements 

Mais vous en subirez les conséquences.

En n’allant pas voter, vous vous privez de votre droit d’expression, faîtes le pendant que vous en avez encore le droit… Moi, je ne laisserai pas ma place, j’irais voter ! 

1 parce que j’emmerde l’Europe telle quelle est aujourd’hui ;

 2 nous sommes à un cheveu de faire basculer les tendances, retrouver notre droit de décider pour nous-même, et enfin de se débarrasser de tous ces traîtres à la Nation qui font tant de mal au peuple. 

Leur mettre une grande claque dans la gueule, c’est le vote utile !