Nos amis les bêtes

Un peu de frisson ne fait pas de mal du moment où l’on est à l’abri du danger, mais s’il on était face à un danger mortel, le reflex de la survie arriverai plus vite que l’éclair. Tout cela pour vous dire que j’ai été voir une belle exposition sur les « petites bébêtes » don voici quelques photos. Bon frisson !

Le Mamba Noir

Le Mamba Noir, est originaire d’Afrique, son nom vient de la couleur de sa bouche d’un noir d’encre. Ce serpent est venimeux, la quantité de venin injectée en une seule morsure suffirait à tuer 40 personnes. 

Il peut mesurer jusqu’à 4,30 m, et sa rapidité peut aller jusqu’à 20 km/h, d’ l’expression prendre ses jambes à son cou et courir le plus vite possible !

© Little Trice

Mocassin d’Eau

Originaire des États-Unis, sa morsure est mortelle, il vit principalement au bord de l’eau, il peut mesurer jusqu’à 1,80 m

© Little Trice

Vipère

Originaire d’Amérique, cette vipère venimeuse, mesure jusqu’à 70 cm

© Little Trice

Vipère du Gabon

Ce serpent venimeux est originaire d’Afrique. Elle peut atteindre 1,80 m.  La dangerosité de ce serpent provient surtout du très important volume qu’il injecte à chaque morsure, cette vipère possède les crochets à venin les plus longs de tous les serpents, mesurant jusqu’à 5 cm de longueur.

© Little Trice

Crotale

Ce serpent venimeux, originaire d’Amérique peut mesurer jusqu’à 2 m

© Little Trice

Vipère Cornue

Originaire d’Europe de l’Est, cette vipère venimeuse peut mesurer jusqu’à 95 cm. 

© Little Trice

Dendrobate à tapirer

Originaire d’Amérique, cette grenouille venimeuse mesure 6 cm. Son poison très toxique est sécrété par des glandes présentes dans sa peau.

© Little Trice

Mygale

 Cette araignée venimeuse, on la retrouve en Amérique, en Afrique, en Asie, en Océanie, et en Europe.

© Little Trice

Le voyage de Trice : le Bas-Poitou

MUSEE CHARLES MILCENDEAU

Image dans Infobox.

Fils d’aubergistes de Soullans en Vendée, Charles Milcendeau est attiré dès l’enfance par le dessin. Souhaitant que ses enfants fassent des études, son père inscrit Charles à La Roche-sur-Yon puis à l’Institut Livet à Nantes en 1888. 

La pratique du dessin y étant trop tournée vers le domaine Industriel et Technique, Charles convainc son père de l’envoyer à Paris. Il y commence sa formation à l’Académie Julian. 

Charles fréquente assidûment le Louvre et c’est certainement là-bas que sa route croise celle de Gustave Moreau, l’un des maîtres du courant symboliste. Ce dernier accepte d’intégrer Charles dans son atelier de l’École des Beaux-Arts de Paris en 1892. 

Il s’y liera d’amitié avec Georges Rouault, Henri Matisse et Henri Evenepoel. Amateur de voyages, Charles reste néanmoins attaché à son marais de Soullans. En 1905, à la mort de son père et grâce à sa part d’héritage, il achète une propriété à Soullans, au Bois-Durand. 

Il y passe une partie de l’année, mais part régulièrement à la découverte de nouveaux lieux, de nouvelles inspirations : de 1896 à 1910, il passera par la Belgique, l’Italie, la Sardaigne, la Corse, l’Espagne

 Il ramènera de ses voyages quantité de portraits, car l’homme est au départ un portraitiste qui s’intéresse aux « petites gens » d’ici et d’ailleurs. Amoureux de son marais vendéen, il produira de nombreuses toiles le représentant inondé, entrera dans les bourrines à la rencontre de leurs habitants, livrant parfois des scènes intimes comme le Couple au parapluie.


D’une santé fragile, il meurt au Bois-Durand en 1919. Sa chambre, recouverte de fresques florales et animales d’inspiration mudéjare.

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

Le voyage de Trice – la Haute-Normandie

Le Havre

Le Havre est le deuxième port de France après Marseille et le premier port de France pour les containers. Elle est la sous-préfecture de la Seine-Maritime et siège d’un évêché. 

La ville et le port sont officiellement fondés par le roi François Ier en 1517. Le développement économique est entravé par les guerres de religion, les conflits avec les Anglais, les épidémies et les tempêtes. 

C’est à partir de la fin du XVIIIe siècle que Le Havre s’agrandit et que le port prend son essor grâce à la traite négrière puis au commerce international. Après les bombardements de 1944, l’atelier d’Auguste Perret entreprend de reconstruire la cité en béton. 

L’industrie du pétrole, de la chimie et de l’automobile sont dynamiques pendant les Trente Glorieuses, mais les années 1970 marquent la fin de l’âge d’or des paquebots et le début de la crise économique. 

 Port 2000 accroît la capacité d’accueil des conteneurs pour concurrencer les ports du nord de l’Europe, les quartiers sud se transforment, les paquebots font leur retour. En 2005, l’Unesco inscrit le centre-ville au patrimoine mondial de l’humanité. 

Le musée d’art moderne André-Malraux devient le deuxième de France pour le nombre d’impressionnistes.

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

La gare du Havre

Établie à 4 mètres d’altitude, elle est mise en service en 1847, par la Compagnie du chemin de fer de Rouen au Havre, avant de devenir, en 1855, une gare de la Compagnie des chemins de fer de l’Ouest, puis, en 1909, de l’Administration des chemins de fer de l’État.

Gare importante, elle a disposé de trois bâtiments voyageurs successifs. Le premier, dû à William Tite, est ouvert en 1847 ; il est détruit pour laisser la place, en 1882, à celui de Juste Lisch. La gare actuelle est constituée du bâtiment voyageur d’Henri Pacon, ouvert en 1932 et de la grande halle verrière de 1882.

Image illustrative de l'article William Tite

Image illustrative de l'article Juste Lisch

Num_riser0009

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

©. Little Trice

L’étau se resserre jours après jour.

Pauvres cathos ! Vous n’êtes pas aidé avec ce pape aux multiples couleurs, et ses prédispositions pour le culte musulmans. 

Quel « saint-homme » qui œuvre inlassablement vers la destruction de l’Église catholique, des nations, et vive le grand remplacement ! 

Ha ! S’il avait des oreilles pour entendre ce que dit Monseigneur le Cardinal Sara :

 « J’ai peur que l’Occident ne meure. Il y a beaucoup de signes. Plus de natalité. Et vous êtes envahis, quand même, par d’autres cultures, d’autres peuples, qui vont progressivement vous dominer en nombre et changer totalement votre culture, vos convictions, vos valeurs… »

Le voyage de Trice : L’Île-de-France

Région - Blason - Ile-de-France.png

Le Pays de France 

Gare de Rosny-sous-Bois

© Little Trice

Gare ferroviaire de Paris-Est à Mulhouse, elle est mise en service en 1856 par la Compagnie des chemins de fer de l’Est. Elle est à une altitude de 69 m. 

Musée du chemin de fer

Le bâtiment voyageur abrite, le musée du chemin de fer local. Nous avons avec mon ami Jean-Pierre le cheminot décidé d’aller visiter ce musée ferroviaire de l’Île-de-France. 

Partis en fin de matinée, nous sommes arrivées à la gare de Rosny-sous-Bois pour le casse-croûte de midi. Le temps étant au beau fixe se prêtant à un déjeuner dehors en attendant l’ouverture du musée. 

Jean-Pierre à toujours bon appétit ! Les voyage ça creuse !  

© Little Trice

Ce musée possède une très belle collection de blason de locomotive. Il est de coutume de baptiser une locomotive du nom d’une ville ou d’une province avec le blason correspondant. 

Ce musée abrite l’avant d’une BB AIA 67000, c’est, je pense le cloud de la visite, toute la cabine abritant le tableau de bord en parfait état de marche avec les phares et le klaxon, je me suis empressé de klaxonner à tout-va ! Ce fut une très belle journée avec mon ami Jean-Pierre.

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice