On continue sur le C 19

Avec cette propagande massive au sujet du Covid-19, j’ai fait un affreux cauchemar. Dans mon rêve, un virulent virus apparaissait dans un pays lointain et sévissait ensuite dans une poignée de métropoles ; au bout de quelques mois, cependant, ce virus avait complètement perdu sa capacité de nuisance.

Curieusement, et c’est là que j’ai compris que c’était un cauchemar, les autorités politiques et les grands prêtres ou prêtresses médiatiques continuaient à distiller la peur dans la population. Comme les chiffres artificiellement gonflés des hospitalisations et des décès restaient ridiculement faibles, on amusait la galerie avec des histoires de clusters et de taux de reproduction du virus.

Personne ne semblait se soucier du fait que si le virus circulait, il ne rendait plus personne malade, au même titre que des millions d’autres virus en suspension.Cette peur savamment entretenue permettait à des organisations internationales et à des gouvernements cyniques ou lâches d’imposer des contraintes insensées à la population : port du masque, distanciation, re-confinement…

Et les conséquences étaient apocalyptiques, des milliers d’entreprises déposaient le bilan tandis que la folie gagnait peu à peu les foyers mis en résidence surveillée, les violences intra-familiale explosaient sans que la délinquance de rue ne diminue car, dans mon cauchemar, seuls les criminels conservaient une pleine liberté de circulation.

Un jour, cependant, les médias et les dirigeants qui persécutaient la population firent une annonce triomphale : on avait trouvé un vaccin efficace contre le virus inefficace ! Les geôliers devenaient des libérateurs et annonçaient que tous ceux qui se feraient vacciner pourraient reprendre une vie normale ; bien sûr, pour pouvoir prendre des  publics ou entrer dans un commerce, il fallait prouver que l’on était bien vacciné, et comme il eût été fastidieux de montrer sa carte de vaccination à tout bout de champ, le plus simple était de se faire implanter une petite puce sur la main ou sur le front.

Ceux qui refusaient cette solution se condamnaient eux-mêmes à une vie de paria. Je vis alors l’immense cohorte de ceux qui avaient accepté de se laisser soigner et tracer comme du bétail. Ils sortaient, ivres de joie, dans les rues et jetaient leurs masques en l’air en louant la sagesse et la bonté de leurs maîtres ; mais, horreur, sous ce masque, ce n’était plus des visages d’hommes mais des têtes de veaux.

Les hommes-veaux se dirigeaient vers un sombre bâtiment au-dessus duquel étaient écrits des mots effrayants : esclavage, abattoir, enfer…

Les personnes pucées existent déjà dans certaines entreprises au Benelux, et si à la fin de l’année on vous sort un vaccin miraculeux, vous savez ce qui vous attend… Je vous ai informé par tous les moyens, maintenant vous êtes au courant, je vais laisser ce thème car j’en ai assez dit, maintenant je retourne sur les Voyages de Trice

SANTE !

Le Covid 19

Chère lectrice, cher lecteur,

Les médias et les gouvernants continuent à tout faire pour maintenir la psychose autour du Covid-19. Mais plutôt que de les écouter, et de paniquer, je vous recommande de suivre les chiffres réels des décès liés au Coronavirus sur un site publiant les données officielles.

Vous verrez que, contrairement à ce qu’on entend partout, vous pouvez désormais dormir sur vos deux oreilles au sujet du Covid-19, si vous habitez l’Europe.

L’épidémie est terminée selon tous les critères d’une épidémie terminée, c’est-à-dire que le Covid-19 ne fait pas plus de morts qu’une maladie orpheline. On n’a donc plus le droit de parler d’épidémie.

Depuis le 15 mai, soit deux mois environ, l’épidémie aurait dû être officiellement déclarée terminée. On voit donc que, depuis le 15 mai, il n’y a quasiment plus de morts en Suisse liés au Covid-19, et la population a raison de ne plus se stresser pour cela (le stress tue).

Et vous retrouvez le même phénomène dans tous les pays européens. La “remontée des infections” qu’on vous annonce pour vous terroriser dans les médias ne s’accompagne d’aucune remontée du nombre de décès, très probablement parce que le virus perd de sa virulence (de sa dangerosité), ce qui est tout à fait normal.

On sait en effet que les nouveaux virus sont dangereux mais s’affaiblissent avec le temps, tout en devenant plus contagieux. Pourquoi les Autorités veulent imposer à nouveau les masques, les mesures de distanciation, voire des re-confinements partiels ou totaux ?

Je n’en sais rien. Je n’avoue strictement rien comprendre à la façon dont cette crise est gérée. Je connais les diverses théories du complot qui circulent, liées à Big Pharma, aux vaccins et autres, et peut-être sont justifiées.

Reste une certitude : dire la vérité sur cette épidémie est dangereux. Cela vous expose à être bannis des réseaux sociaux, sous prétexte qu’elles comporteraient des fausses informations, ce qui est absolument infondé.

Mais c’est ainsi, depuis que le monde est monde… Un très ancien proverbe afghan disait déjà : « Si quelqu’un dit la vérité, donne-lui un cheval, il en aura besoin pour s’enfuir.»

Santé !

Le coronavirus bien plus célèbre que les Présidents de la République

Même en pleines campagnes présidentielles, les noms de Chirac, Sarkozy ou François Hollande n’ont jamais figuré dans plus de 5 ou 10 % des articles. Mais le coronavirus, lui, s’est retrouvé dans 60 % des articles publiés par 20 Minutes en mars 2020, et presque autant sur les autres canaux d’information !!

Cette répétition obsessionnelle a fini par nous rendre fous. Nous n’avons plus pensé qu’à ça, jour et nuit, pendant des semaines, des mois, abandonnant toutes nos priorités du moment, renonçant pour beaucoup d’entre nous à notre travail, à nos fêtes de famille, à nos projets de tous ordres.

Pourtant, avec moins de 30 000 morts en France (moyenne d’âge 81 ans), le bilan est très loin derrière le cancer (170 000 décès par an), les maladies cardiovasculaires (140 000 décès par an), et loin derrière les démences séniles (40 000 morts)

La gigantesque flambée de coronavirus au Brésil n’est pas ce que l’on croit

A regardé la télévision, on pourrait croire que le Brésil est à feu et à sang à cause du Covid-19. Renseignement pris, le Brésil n’a pour l’instant que 271 morts du Covid-19, par million d’habitants.

C’est deux fois moins que l’Angleterre (637), trois fois moins que la Belgique (839), et 1,5 fois moins que la France (455).  Quand ils nous donnent les chiffres, les journalistes oublient simplement de préciser que le Brésil compte 212 millions d’habitants, ce qui donne forcément des chiffres globaux plus élevés.

Méfiez-vous des chiffres de morts ou de contaminations, annoncés dans les médias sans précision sur la population totale du pays

Depuis le début de l’épidémie, les médias annoncent le nombre de morts dans chaque pays et classent ceux qui ont le plus de morts comme étant des pays particulièrement touchés.

C’est absurde, car il faut évidemment rapporter le nombre de morts à la population totale. Comparer le nombre de morts de l’Italie et de la Chine, de l’Angleterre et des Etats-Unis n’a aucun sens. C’est pourtant ce qui est fait.

Méfiez-vous des idées reçues qui circulent

Les idées sont comme les virus : Elles se communiquent d’un cerveau à l’autre, et peuvent envahir une grande partie de la conscience. Elles peuvent coloniser des populations tout entières.

Lorsque ces idées sont absurdes, elles peuvent pousser des civilisations dans des aventures collectives insensées. Ce risque est particulièrement élevé aujourd’hui, avec les médias et les réseaux sociaux qui sont des autoroutes à propager les idées.

Le seul moyen d’arrêter les idées dangereuses, ce sont d’autres idées plus saines, plus fortes, qui leur font barrage. C’est ainsi qu’on peut échapper à la folie collective. En ce moment, j’hésite de plus en plus à ouvrir un journal où allumer une radio tant les nouvelles sont hystériques.

Le seul vaccin contre cela, c’est de regarder les chiffres, les faits, calmement, en remettant chaque chose à sa place.