Alerte sur l’invasion migratoire

Necla Kelek est une sorte de Malika Sorel, que l’on n’aurait pas bâillonnée.

Pour Focus, concurrent du Spiegel, Necla exige : « La société allemande doit montrer les limites aux réfugiés, car avec eux arrivent des conflits ethniques, religieux et culturels. »

Les derniers faits concernant des conflits entre musulmans et chrétiens dans les lieux de premier accueil provoquent beaucoup d’inquiétudes aux associations et autres bénévoles.

Petit à petit, les Allemands se rendent compte : ce sont deux tiers de jeunes gens sous la trentaine, qui ont pris des risques pour se rendre en Europe.

Ils sont peut-être, ou non, les éclaireurs pour leurs femmes et enfants qui attendent de les rejoindre. Ils ont tous grandi dans des pays islamiques, dans lesquels règne la guerre depuis des années.

En Afghanistan depuis plus de trente ans, en Irak depuis plus de dix ans et en Syrie depuis plus de cinq ans. Leur imprégnation culturelle est faite de violence et de la soumission des femmes aux hommes au sein de leur communauté religieuse clanique…

Ce qui fait une énorme différence avec notre sens de la liberté. Certains ont fui cette calamité. Mais tous arrivent avec cette imprégnation qui se différencie fondamentalement de notre société.

Ce ne sera pas assez de leur apprendre la langue et de leur expliquer comment l’on va faire ses courses au supermarché. Ils doivent apprendre la liberté et, surtout, à respecter celle des autres.

Ils doivent abandonner leurs usages, changer, s’ils veulent s’intégrer à notre société. Ce qui doit signifier aussi, pour la société d’accueil, qu’elle sache ce qu’elle veut précisément. Qu’elle n’érige pas seulement des frontières extérieures, mais aussi des frontières concernant le vivre ensemble.

Pas de violence, pas de discrimination d’autres religions, pas d’apartheid des femmes. Des règles et des valeurs qui nous paraissent naturelles, mais qui sont nouvelles pour un grand nombre d’entre eux.

Nous devons surveiller que les mosquées, sous couvert de « solidarité », ne viennent pas confirmer l’islam conservateur. Celui qui divise croyants et incroyants.

Celui qui nie le potentiel de la violence en islam n’a rien à faire dans nos projets d’intégration. Ce sont les associations islamiques, qui se font financer par la Turquie, le Koweït, le Qatar ou l’Arabie Saoudite, qui causent des problèmes.

Ce n’est pas avec eux qu’on arrivera à collaborer. Car, comme jusqu’à présent, ils intégreront dans leur communauté les immigrants et non dans le pays.

On ne résout pas les problèmes avec ceux qui les créent. Vous imaginez qu’un tel langage puisse encore être tenu en ce moment en France ?

Malika Sorel a disparu de tous les radars médiatiques d’une presse aux ordres. Heureusement qu’en Allemagne, qui n’est pas un modèle de liberté d’expression, certains et certaines ont encore droit à la parole et ne s’en privent pas.

La preuve par Necla Kelek.

Armée en colère

La grande muette retrouverait-elle une partie de sa voix ?

On peut le croire quand on lit la lettre adressée par  trois généraux au président de la République. Nous connaissions déjà l’aventure de Christian Piquemal, interpellé le 6 février par les forces de l’ordre alors qu’il manifestait, presque par hasard en écoutant ses dires, aux côtés du mouvement PEGIDA France.

Placé en garde à vue immédiatement (normal, il n’est pas « No Border »), il est dans l’attente de son procès le 12 mai. Devant le silence de ses frères d’armes adorateurs de Ponce Pilate, notamment les présidents de l’UNP (union nationale parachutiste) et de l’Amicale légionnaire, on pensait que l’affaire s’arrêterait là.

C’était sans compter sur la réactivité de certains anciens chefs de l’armée française. C’est ce que nous révèle Le Figaro.

Trois généraux ont adressé, ce vendredi, à l’Élysée, une lettre au président de la République sur sa « responsabilité » face à cette « zone de non-droit » qu’est devenue Calais.

Comme le général Piquemal, ce sont des généraux de 2e section (2s). Il s’agit du général de corps d’armée Pierre Coursier, ancien gouverneur militaire de Lille, et des généraux Antoine Martinez et Jean du Verdier, tous deux aviateurs.

« Le président de la République française, en vertu de l’article V de la Constitution de 1958, est le garant de l’intégrité du territoire. » Ainsi commence la lettre.

« Sa responsabilité est donc engagée dès lors que des migrants illégaux entrent massivement en France, avec des points de fixation comme Calais et le Calaisis. »

Ne mâchant pas leurs mots, ils expliquent : « Cette partie du territoire est abandonnée de facto par les autorités de la République. »

Puis déclarent : « Vous ne pouvez pas vous dérober à vos devoirs. » Et s’indignent de « la situation existentielle désastreuse qui est faite aux habitants de cette région, qui vivent dans la terreur des bandes mafieuses ».

Ces hauts gradés estiment que le chef de l’État doit « négocier avec Londres et Bruxelles des modifications » aux traités du Touquet et de Schengen.

Ils n’oublient pas de dire un mot sur l’arrestation du général Piquemal, indiquant « qu’il s’est rendu pacifiquement sur place pour constater cette capitulation de l’État » et que « par une ironie blessante, il a été arrêté au nom de l’ordre public alors que les migrants illégaux demeurent libres de leurs faits et gestes pendant ce temps ».

Ils demandent au Président de « prendre la mesure de l’indignation que ce paradoxe provoque dans le cœur de beaucoup de Français ».

Enfin, pour terminer (cerise sur le gâteau), ils donnent une leçon de logique et de savoir agir au locataire de l’Élysée : « Il convient, au lieu de s’acharner sur un soldat, fût-il général et patriote, de rétablir l’ordre public à Calais, ce qui suppose l’éradication de la “jungle” (une “jungle” peut-elle exister en République ?). Et le renvoi de tous les clandestins dans leurs pays d’origine. »

Oui, vous avez bien lu ! D’après le quotidien, de nombreux autres gradés ont encouragé et approuvent cette apostrophe au chef de l’État, sans pour l’instant l’avoir signée.

Nicolas Stoquer, secrétaire de l’association Conférence France Armée, à l’origine de cette lettre, souligne : « C’est l’urgence et la situation de crise qui les ont poussé à s’exprimer de manière décomplexée. »

J’espère et propose que d’autres généraux, officiers et sous-officiers se joignent à ce mouvement courageux de défense des Français.

Va-t-on entrevoir dans quelques mois la « colère des légions »  L’avenir nous le dira.

oops

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Mourir d’aimer !!

Citation

Le 25 janvier, trouvé morte sur son lit, allongé sur le ventre, le pantalon descendu jusqu’aux genoux, vomi et sang répandu partout, la police autrichienne avait d’abord – on n’est jamais trop prudent – envisagé l’hypothèse d’un « jeu sexuel qui aurait mal tourné ». Lauren Mann, une Américaine à Vienne, a été violée, étouffée par celui qu’elle protégeait : un Gambien demandeur d’asile démasqué par son ADN.

Lauren, une gauchiste activiste très impliquée dans l’hébergement des clandestins illégaux menacés d’expulsion. « Une fille fantastique, gentille, intelligente, une personne unique avec énormément de potentiel et plein de choses à offrir », ainsi la décrivent ses amis de même acabit.

 

Jusqu’à sa vie.

Une fille en or, en effet, pour les tenants de l’idéologie antiraciste, pour les salopards qui se cachent parmi les vrais réfugiés, mais, en réalité, une fille (simple constatation) un peu bébête sous emprise idéologique.

Ou l’inverse.

Une fille « adorable », donc, qui trouvait le moyen, entre ses études à l’université et son travail de fille au pair, d’effectuer des virées dans les gares et dans les centres d’accueil pour épancher son « grand cœur pour les pauvres »…

 

Abdou, 24 ans ? Un Africain pauvre de Gambi – forcément doublement gentil – débarqué illégalement en Italie en 2012, ayant fui en Allemagne où, avant même que sa demande d’asile – alors que nulle guerre ne sévit dans son pays d’origine – ne soit examinée, avait déjà été arrêté plusieurs fois pour vols, cambriolages et agressions sexuelles.

 

En Allemagne comme en France, l’indulgence pour les délinquants ne semble pas connaître de limites. Abdou se promenait ainsi libre comme l’air.

Logé, nourri, habillé, blanchi, fourni en cigarettes et la maîtresse de maison en prime. Connaissait-elle les motifs d’expulsion de son protégé, cette « brillante, généreuse et lumineuse » jeune femme ?

Les lui a-t-elle seulement demandés ? Les lui a-t-il révélés ? Se serait-elle, dans ce cas, abstenue de l’héberger, ce parfait inconnu, l’étudiante férue « de lecture, amoureuse d’art, de littérature et de musique » ?

Si on en croit son propriétaire interviewé par le Daily Mail, décrivant une jeune femme dénuée de sens pratique, au point de ne pas avoir l’idée d’appuyer sur le bouton du radiateur pour mettre le chauffage en route, on peut se poser la question…

Aux quatre coins de la planète, sur des esprits faibles, naïfs ou nigauds et des cervelles laissées en friche, l’idéologie prétendument antiraciste fait des ravages.

 

Bon sens, élémentaire prudence, instinct de conservation, jugeote, brefs, les pivots universels de l’humanité, chez Lauren comme chez Ashley, une autre Américaine, organisatrice de « rencontres culturelles », tuées un mois plus tôt dans des conditions similaires, en Italie, par un immigré clandestin sénégalais, n’existaient pas.

Ou plus. Ah, ils auront bien réussi leur coup, les soi-disant défenseurs droits-de-l’hommistes ! Ces Occidentales, elles n’avaient plus à « lutter contre les amalgames et l’exclusion », elles avaient même « dépassé la peur de l’autre ». Elles ont voulu tordre le cou aux préjugés.

En attendant, ce sont les supposées victimes des préjugés qui leur ont tordu le leur…

A bon entendeur salut !

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