Poème de Dominique Dudon (artiste)
Et les pâles lueurs du feu qui s’éteignent qui se meurent comme une femme qui à peur parce qu’elle attend son heure. Ouvre encore une fois cette porte qui donne un sens à ta vie, qui t’a toujours fait envie et hôte de toi cette nuit.
Elle te submerge depuis ci longtemps, elle te ramène à ton enfance, elle te rappel ces violences qui ton fait perdre confiance. Tous les hommes ne sont pas ainsi, il y a ceux qui aiment, il y a les courageux, il y a ceux qui donnent, et puis ceux qui valent mieux qu’une apparence, qu’une image, et puis il y a Dieu.
Oh femme, tu as tant donné et tant souffert, le courage t’a manqué de fuir ton foyer. Sans solution aucune les coups ont volé d’un homme qui te disait t’aimer.
Oh femme, tes enfants ont tout vu, ils peuvent témoigner de tes moindres patiences, ils peuvent nous raconter cet pauvre engeance de ce qu’il t’a fallu avaler comme non-sens.
Et ça te submerge depuis si longtemps, tout te ramène à ton enfance, ces mêmes souffrances, ces mêmes violences, à présent plus rien n’a d’importance…